62e2931281cbed0ba95bcde00bb3d46a484b0cbe
D24e58878c5cba5416d7ee2c82919c9d21b8bb7e
A331b2cf64ea67ade90932aa5e6b4aa9a99c6970
995a80404b467df6e2bae6414c48b5cf7b90800b
Bf482e46af89135910a378c4ebee4c1d3cb38e92
Fe1831b6a815ac17e8ec468d2e83165c247849a0
Fermer
cinéma

Propriété interdite

Fada1764a1fc9c306e3f535eb835f6013a064a5f

Benoît et Claire viennent d'arriver dans la vieille demeure de la famille pour vider la maison avant de se lancer dans les grands travaux afin de pouvoir la revendre ensuite à un bon prix. Tandis que Benoît voudrait faire les choses vite, Claire, se pose beaucoup plus de questions. Passée la première nuit, Claire est persuadée que la maison n'est pas déserte...

Pas de doute, Hélène Angel aime jouer avec les nerfs de son spectateur. Evacuée en quelques plans, l'introduction laisse ses deux personnages seuls dans une immense bâtisse désertée, abîmée par le passage du temps et pas aussi vide qu'on pourait le croire. Habile le scénario joue aussi de la fragilité des pesonnages pour instiller le doute chez le spectateur et ce sont les effets de réalisation qui se chargent de compléter cette petite panoplie de la terreur ordinaire. Sauf que voilà, sous ses dehors effrayants, Propriété interdite n'est pas tout à fait le film de genre qu'il prétend être, la faute sans doute à des ambiances trop nombreuses qui en se succédant, n'en finissent pas de se parasiter. Dommage car devant la caméra, Charles Berling très carré mais qu'on sent aux abois et Valérie Bonneton, solitaire et fragile, donnent corps à des personnages solides. Le film, malgré sa coute durée, se disperse malgré tout dans es ambiances et dans ses tons laissant le spectateur piocher ce qu'il peut dans une histoire très bien construite, jusqu'à son dernier quart d'heure.

Publié le 19/01/2011 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma