62e2931281cbed0ba95bcde00bb3d46a484b0cbe
D24e58878c5cba5416d7ee2c82919c9d21b8bb7e
A331b2cf64ea67ade90932aa5e6b4aa9a99c6970
995a80404b467df6e2bae6414c48b5cf7b90800b
Bf482e46af89135910a378c4ebee4c1d3cb38e92
Fe1831b6a815ac17e8ec468d2e83165c247849a0
Fermer
cinéma

Kung Fu Panda

D2867466c9f84341bf04f1c6213cf6d35a4d5648

Po, panda débonnaire un brin grassouillet, vend des nouilles avec son cuisinier de père tout en rêvant d'exploits martiaux et de kung-fu. Quand la rumeur court que le vieux maître Oogway va désigner le légendaire guerrier dragon, Po décide d'assister à la cérémonie pour, contre toute attente, être choisi par le sage. Empoté, paresseux et quelque peu embarrassé par une légère surcharge pondérale, Po n'est pas l'élève idéal dont rêve Maître Shifu. Il devra pourtant collaborer avec les cinq cyclones et se former au kung fu pour arrêter le puissant Tai-Lung qui vient de s'échapper de la sinistre prison dans laquelle il croupissait depuis des années...

Comme souvent chez Dreamworks, le film balaie un large spectre, proposant, derrière un récit sans guère de surprises, une multitude de clins d'oeil appuyés en direction des spectateurs les plus âgés. Dynamisées par les possibilités infinies des images de synthèse, les scènes d'action embarquent dans des acrobaties aussi furieuses qu'emballantes aussi bien pour les plus jeunes (pas avant 7-8 ans tout de même) que pour les grands. Dans le sillage de Po, les auteurs distillent un humour tantôt gras tantôt plus malin mais toujours des plus percutants. Balayant les passages obligés du genre (le vieux maître, l'adversaire doué, le lien maître-élève) avec le décalage propre au travail de Dreamworks ce Kung Fu Panda cache bien son jeu pour se montrer attachant, drôle et surprenant tout à la fois. Idéal pour commencer l'été.

Publié le 15/07/2008 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma