62e2931281cbed0ba95bcde00bb3d46a484b0cbe
D24e58878c5cba5416d7ee2c82919c9d21b8bb7e
A331b2cf64ea67ade90932aa5e6b4aa9a99c6970
995a80404b467df6e2bae6414c48b5cf7b90800b
Bf482e46af89135910a378c4ebee4c1d3cb38e92
Fe1831b6a815ac17e8ec468d2e83165c247849a0
Fermer
cinéma

Comme les cinq doigts de la main

7c312fe8ba4fe0b6210f7a722d18da34f69f902c

Cinq frères qui ont grandi et ont été élevés ensemble. Cinq destins similaires et pourtant différents qui vont être bouleversés par la réapparition de l'un d'entre eux, disparu et en brouille avec la famille depuis longtemps. Un retour qui va mettre au jour une histoire familiale complexe et troublée et renverser des certitudes...

Lui-même membre d'une fratrie de cinq enfants, Alexandre Arcady entendait sans doute jouer autant du clin d'oeil que d'une démarche d'auteur en signant ce récit à la fois familial et intime. Hélas, à trop vouloir emplir la marmite, la soupe devient immangeable, empêtré entre des conflits fraternels, un secret enfoui et des amitiés troubles, le film finit par ne jouer sur aucun registre. À l'écran les acteurs, englués dans des archétypes bien fades, ne parviennent jamais vraiment à faire décoller ce portrait croisé d'une famille et de ses membres. Et, Patrick Bruel en tête, tous sombrent avec le navire d'un récit inutilement boursouflé posé sur des effets de style aussi maladroits que malvenus.

Publié le 29/04/2010 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma