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cinéma

Angélique

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XVIIème siècle. La jeune Angélique, promise au riche et vieux comte Joffrey de Peyrac entend bien ne pas se laisser faire. Mais alors qu'elle pense découvrir en Joffrey un vieillard diminué, elle rencontre un esprit libre et indépendant, assoiffé de connaissances. Quand le roi Louis XIV, de passage sur les terres de Joffrey quelques années plus tard, découvre sa fortune, ce dernier en prend ombrage et décide de le faire emprisonner et juger. Angélique, résolue à sauver celui qu'elle a appris à aimer, monte à Paris avec ses enfants et demande de l'aide à un avocat...

Adaptation avalisée par Anne Golon elle-même (auteure des aventures originelles d'Angélique),ce nouveau cycle (oui, le film se présente comme un premier volet) entend donc dépoussiérer le personnage incarné par Michèle Mercier dans les films de Bernard Borderie. Pour le coup, si le récit gagne (un peu) en rythme, les aventures de ladite Angélique n'ont guère évolué, pas plus que le schéma classique ni les péripéties qui jalonnent son parcours. Entre amour et aventure, le parcours initiatique tourmenté d'Angélique trouve sous la caméra d'Ariel Zeitoun une relecture seulement modernisée par le casting. Pour le reste, le parcours de la marquise des anges paraît bien rétro... Le casting peine à faire exister des héros qui ressemblent davantage à des archétypes qu'à de vrais personnages. La nostalgie n'excuse pas tout...

Publié le 18/12/2013 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma