62e2931281cbed0ba95bcde00bb3d46a484b0cbe
D24e58878c5cba5416d7ee2c82919c9d21b8bb7e
A331b2cf64ea67ade90932aa5e6b4aa9a99c6970
995a80404b467df6e2bae6414c48b5cf7b90800b
Bf482e46af89135910a378c4ebee4c1d3cb38e92
Fe1831b6a815ac17e8ec468d2e83165c247849a0
Fermer
concerts

Ultra Vomit

Ultra Vomit  (2024)
Avec Ultra-Vomit on sourit, on pogote, on se fait plaisir, et c’est le 23 novembre au Krakatoa !

Le métal parodique a encore de beaux jours devant lui, et ce n’est pas le quartet Ultra Vomit qui va dire le contraire. Leur histoire commence en 2000 à Nantes comme un groupe de grindcore humoristique. Ils cherchent à l’époque à créer un décalage entre la violence de la musique et le côté enfantin des chansons comme Bouba ou Une souris verte. Puis peu à peu ils deviennent parodique en faisant des reprises à leur sauce, comme Pour un mosh tiré de Pour un flirt de Michel Delpech.

Toutefois la veine grindcore reste bien présente avec des morceaux courts, efficaces et aussi brutaux qu’une droite dans la mâchoire. Mais le groupe s’inspire également de tout ce qui l’entoure et une  multitude de genres de métal viennent se greffer à leur son. Au fil des albums le groupe s’attaque parodiquement à des groupes reconnus comme Rammstein avec Kammthaar ou encore Iron Maiden avec Evier Metal. 

Irrévérencieux et drôles le roi Fetus et sa bande ont littéralement enflammé les planches des plus grandes salles de France, de la Grande Halle de la Villette à l’Olympia, qu’ils parviennent à remplir à chaque fois. Leurs concerts au Download, au Motocultor et au Hellfest prennent des dimensions épiques, le public en redemandant toujours plus. 

Publié le 02/04/2024