« Monsieur Armstrong, qu'est-ce que le swing ?... Madame, si vous avez à le demander, vous ne le saurez jamais ». Une réplique et a fortiori une célèbre scène de danse issue du film Hellzapoppin, comme point de départ de ce projet : lindy hop, fox trott, shim sham (...), réunis pour le swing mais surtout une « joie communicative », suscitant chez la chorégraphe l'envie de « visiter les danses sociales de cette communauté ».
Un style rétro donc, mêlé à travers le spectacle (et 5 autres danseuses) au hip hop, « prolongement actuel naturel de cette culture », pour former « la première revue nègre contemporaine depuis Josephine Baker ». « L'expression joyeuse et délurée d'une histoire au goût amer », le corps qui réinvestit l'Histoire.