62e2931281cbed0ba95bcde00bb3d46a484b0cbe
D24e58878c5cba5416d7ee2c82919c9d21b8bb7e
A331b2cf64ea67ade90932aa5e6b4aa9a99c6970
995a80404b467df6e2bae6414c48b5cf7b90800b
Bf482e46af89135910a378c4ebee4c1d3cb38e92
Fe1831b6a815ac17e8ec468d2e83165c247849a0
Fermer
danse

Grande scène cherche petites formes

F9b483f061639da28aa85c48df6d7d3b82a06fb5

 

Les Petites Scènes Ouvertes, c'est un réseau inter-régional qui favorise l'émergence de nouveaux talents de la danse. Les structures de toute la France et d'Outre Manche qui le composent vont pour la quatrième fois présenter en scène dix compagnies choisies parmi plus de 150 candidatures.

 

 

 

Durant deux journées, le public pourra donc découvrir dix formes courtes très différentes, qui témoignent de la diversité de la création chorégraphique contemporaine. Car si Leonard Rainis propose avec son solo Minimal une exploration de l'alphabet originel de la danse contemporaine, au plus près de l'essence du geste, d'autres projettent sur scène toute la complexité de notre monde. Mithkal Alzghair propose une danse consciente et politisée avec Déplacement, qui « s’intéresse à l’héritage du corps syrien » et cherche à « rendre visible l’humain dans ce contexte complexe de révolutions, de migrations, de guerres et (...) de liberté. » C'est par la danse aussi que Filipe Lourenço interroge la nature humaine avec Homo Furens, pièce pour cinq danseurs inspirée de l'entrainement des commandos qui questionne les limites entre corporalité et volonté, individualisme et engagement collectif. A l'autre bout du spectre, Ashley Chen (ancien danseur de la Merce Cunningham Dance Company) propose en duo avec l'irlandais Philip Connaughton Whack!!, pièce pleine d'humour qui se joue de la collision de deux corps dans l’espace ; et l'anglaise Lola Maury nous fait vivre une expérience intime et sensorielle autour du son dans Two to Tune. Un voyage en dix étapes à travers le futur de la danse.

 

Publié le 01/12/2016 Auteur : Anaïs Rouyer


Mots clés :