Dance & the City

Ça paraît évident, mais c'est d'abord un cadre fantastique, « l'univers tout particulier du Bassin d'Arcachon ». Le Théâtre Olympia, parfaitement armé pour les "spectacles majeurs", et des aménagements extérieurs, des grands-places au front de mer, prêts à accueillir danseurs en devenir, aquitains ou de notoriété internationale.
En chiffres, c'est 18 compagnies, 23 spectacles et au final six journées bien remplies, avec comme  têtes d'affiche l'Espagnol Miguel Angel Berna, qui proposera sa propre lecture de l'univers de Goya, et Trisha Brown, figure de la danse américaine, pour un triple programme mêlant formes pré-classiques et gestuelle « athlétique et enigmatique ». À noter également une soirée d'ouverture réunissant le Ballet de l'Opéra National de Bordeaux, dans une création teintée hip-hop, et le Ballet de l'Opéra National de Macédoine, dans la tradition de l'école russe.

Oubliez l'image d'un art se résumant au ancestraux ballets classiques... Pour vous y aider, cette « fable contemporaine à géométrie variable » proposée par la Cie Stand Alone Zone, la danse sur un fil de la Cie au Fil du Vent, la danse africaine circassiennes de Chut ! ou encore la danse acrobatique de la Cie Retouramant, embarquée dans une "escale chorégraphique", qui mènera le spectateur en bâteau vers une destination inconnue...
Programme conclu le dimanche par la traditionnelle "parade chorégraphique", réunissant dans un projet commun et festif danseurs amateurs et professionnels girondins.