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danse

Ida don’t cry me love

Ida don’t cry me love (2021)
Après son arrière-grand-oncle, le peintre Léon Bakst, Lara Barsacq rend hommage à une autre figure des Ballets Russes : la sublime et sulfureuse Ida Rubinstein. La bayadère effeuillée du Salomé d’Oscar Wilde, celle aussi à qui Ravel dédia son Boléro.

Mêlant histoires grandioses et parenthèses cocasses, souvenirs personnels et archives rares, les trois danseuses tressent une ode à la liberté, à l’audace et aux modèles tutélaires féminins, ces sœurs spirituelles avec lesquelles elles dialoguent pour mieux s’inventer – sur scène comme en dehors. 

Publié le 16/02/2021


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