Festival de rentrée - Les Campulsations
KOLINGA (soul)
«J’ai eu envie de parler de ce que je connais le mieux, c’est-à-dire ma vie.» Rébecca M’Boungou n’ignore pas quelle est la part d’universel dans sa vie de métisse – tellement de bouleversements, de splendeurs, de mélancolies, de plaisirs ou de douleurs présents dans ce siècle. Kolinga raconte donc beaucoup plus que l’aventure musicale d’une Béarnaise à la peau mate qui s’exprime en français, anglais et lingala sur une musique qui puise dans la pop, la rumba congolaise, le jazz, la soul, la chanson, le hip-hop...
LULU VAN TRAPP (rock éclectique)
Depuis 2017, Lulu Van Trapp compose, tourne, sort des clips, organise d’immenses bals costumés, monte sur scène en costume trois pièces, en sort nu.e, et met la misère avec ses chansons d’amour. Une fille et trois garçons que l’on voit grandir le long de leurs chansons où aucune ne se ressemble, entre rock, r'n'b et synth pop, entre violence et tendresse.
CHEAP HOUSE (techno jazz)
Cheap House réunit deux mondes sur la scène d’un club de jazz : le quartet strasbourgeois joue de la techno et de la house, utilise l’improvisation comme le ferait un producteur en live ou un DJ en plein set, en ressentant l’énergie du public, le baladant de boucles en drops… Mais le tout sur instruments, sans séquences ni ordinateurs.
GARGÄNTUA (techno pop)
Né de la volonté d’apporter un certain lyrisme brut à une scène électronique qui ne prend plus vraiment de risques, Gargäntua présente un univers énigmatique et surprenant, inédit dans le paysage électro français. Depuis 2015, le duo tresse une pop techno hybride aux multiples niveaux de lectures. Mêlant les codes du black métal à une chanson française réinventée Gargäntua choque, dérange et ne ménage pas son pub
Publié le 11/08/2022