Sa technophobie quand elle était enfant, ses débuts de réalisatrice, ses problèmes de poids, sa rencontre avec une dramaturge, ses « co-dodo » avec sa petite sœur, un viol qui ne dit pas son nom… Not that kind of girl, c’est les montagnes russes de la pertinence. Le lecteur passe de sujets de fonds autour dun métier de réalisatrice à des problèmes plus… futiles. Comme ses premières amours au collège ou de longues pages de menus de régime. Et finalement, c’est ce qu’on aime, à l’image de la série qui traite de sujets de société et sait aussi appesantir sur des petits problèmes d’égo. Alors oui, la parole est souvent crue, les propos discutables mais le charme opère : Lena Dunham nous semble autant agaçante que sympathique.